Il est beau, son père l’appelle « Don Diego de la Vega » en souvenir de ce bel acteur qui incarnait Zorro dans les années 80. Il est sérieux, travailleur et talentueux. Il prend soin de lui pour le plaisir de son entourage personnel et professionnel. Il a très bon gout, est attentif aux autres, empathique et toujours à l’écoute. Ne juge jamais mais conseille avec tact et délicatesse.

Il aime ses sœurs et en a fait ses premières fans, il aime son chat et en a fait son amie, il aime ses amis et en a fait ses compagnons de parcours. Il est si professionnel que sa hiérarchie ne tarie pas d’éloges à son sujet. Tout le monde parle de lui en usant de superlatifs.

Il n’a que 22 ans mais il taille sa route à toute vitesse et avec conviction, il est en chemin pour la gloire.

Toutes ces qualités font de lui quelqu’un d’exceptionnel et c’est pour cette raison, entre autres,… que je suis fière d’être sa mère.

Tout petit déjà il irradiait la gentillesse et la joie de vivre. Toujours calme et souriant, sa vie tournait autour de sa famille : un père heureux, une mère attendrie et deux sœurs totalement sous le charme.

Comme tous les enfants il détestait les légumes et ça n’a pas beaucoup changé par contre il aimait et aime encore les ribs de porc. Il pouvait s’endormir partout à partir du moment qu’on emmenait son pyjama. Il se nourrissait de bananes pommes de biscuits Oréo. Il était un enfant si facile, si doux. Affectueusement je l’ai surnommé « nounou » et depuis, ses sœurs, son père, papi Roger, Joëlle, Stéphane, tatie Rachelle, tous ceux qui l’ont pris d’affection l’appellent ainsi. C’est notre nounou. A la maison il y a aussi  « Boubam » dit « Boub » ca c’est le surnom privé du club des 5.

Dernier de la fratrie il est arrivé pour faire plaisir à papa, aimer ses sœurs et faire le bonheur de sa maman. Il boucle la boucle de cette jolie famille qui n’a pas peur d’afficher son originalité en vivant au plein jour le bonheur simple d’être 5, en se disant tous les jours leurs amours, en étant respectueux, aimants, compréhensifs, tendre les uns envers les autres.

Certains pensent qu’ils seront heureux lorsqu’ils gagneront plus d’argent, d’autres quand ils auront obtenu tel ou tel diplôme, ou tel emploi, nombreux sont ceux qui sont persuadés qu’ils le seront lorsqu’ils auront des enfants voire même simplement un partenaire de vie, quand ils auront maigri, guéri, ou quand, quand…nous surestimons nos futurs bonheur, de la joie escomptée lors de notre prochain anniversaire à celle d’une brillante carrière ou d’une retraite paisible.photo

L’important c’est d’aimer la vie, maintenant, et d’aimer les siens qu’ils soient de sang ou de cœur. Le bonheur est déjà la. Il se conjugue au présent.

Nous savons tous que la perfection n’existe pas et comme tout un chacun nous vivons des hauts et des bas.  Et nous acceptons tout car cela fait parie du jeu. Mais je le dis à qui veut l’entendre ….mon fils est parfait !